The Time of the Naguals: Short stories – Tome 5

Le cinquième tome de l’anthologie  The Time of the Naguals :
Short stories : 117 pages est en ligne en pdf à http://www.inter-zone.org/thetimeofthenaguals/TN5shortstories.pdf

Sommaire
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Foe Tamajiro RE: LONELINESS OF A HOWLING DOG PENIS – February 7 1998 ………. 4
Dot Zero : sermon of the worms 666 – March 31 1998 …………………………………………………. 5
Rick Gentry : My head is opaque… – April 2 1998 ……………………………………………………….. 6
Foe Tamajiro : Officer Foe missed the flight – April 5 98 ……………………………………………… 8
 
Grazulis :
– Arthur – September 20th 1997 …………………………………………………………………………………. 11
– Resistance is futile – April 17 1998 ………………………………………………………………………….. 15
– Epiphany – October 29 97 ……………………………………………………………………………………….. 17
– Smith – October 29 97 ……………………………………………………………………………………………… 18
– Invasion – August 8th 1999 …………………………………………………………………………………….. 19
– Last Stop45 ……………………………………………………………………………………………………………… 22
 
Foe : The Assassins – March 3 1998 ………………………………………………………………………….. 42
Rick Gentry – Foe – Dot Zero : E-mail exchange : Assassins cut to shreds
September 7 1998 ……………………………………………………………………………………………………….. 43
Rick Gentry : They do not always remember – April 14th 1999 ……………………………………  44
 
Frazer Magor:
– The Annals of Port Coqitlam – July 12th/1999 …………………………………………………………….. 46
– Rizella’s letter ……………………………………………………………………………………………………………… 53
– The things that happened last night ………………………………………………………………………….. 54
Thom: Wejna – September 19th 1998 ……………………………………………………………………………. 63
 
Dot Zero:
– The Shoe Box Man ……………………………………………………………………………………………………. 65
– The Radioactive Man ………………………………………………………………………………………………..   67
– Bush of ghosts …………………………………………………………………………………………………………… 73
– The Clown Zone………………………………………………………………………………………………………….. 73
– Bad Poetry ………………………………………………………………………………………………………………….. 74
 
Word Gang :
– Act1: Hamlet Eats a Hod-Dog …………………………………………………………………………………….. 75
– Dewdrop ……………………………………………………………………………………………………………………… 76
 
Daniel Gualda :
– Ricardito …………………………………………………………………………………………………………………….. 78
– Fantasias fálico narcisistas (Wilhelm Reich´s memory) ………………………………………………. 79
 
Kenji Siratori:
– DustNiverna…………………………………………………………………………………………………………………. 81
– Coda …………………………………………………………………………………………………………………………..  83
– AcidHUMAN ……………………………………………………………………………………………………………..  88
– KE-MO-NO ………………………………………………………………………………………………………………..  91
– PORNO ………………………………………………………………………………………………………………………  91
– [Sudden death …………………………………………………………………………………………………………….  94
– :: The last boy………………………………………………………………………………………………………………  97
– Hardcore ……………………………………………………………………………………………………………………..  98
– NDRO ……………………………………………………………………………………………………………………….. 103
– Bizarre Machine ………………………………………………………………………………………………………… 109
 
Dr Dolophine: The Pub ……………………………………………………………………………………………….. 112  
 
Simon Dale : The Flu ……………………………………………………………………………………………………. 113
 

 

 © Interzone Editions http://www.interzoneeditions.net/

Mark Hachem Beirut: Etude sur l’œuvre de Ricardo Mbarkho Des pixels ou les improbables flots d’émotions par Alain Tasso

 mark hachem

RICARDO MBARKHO

FINE PIXELS

May 15- 29, 2012

Etude sur l’œuvre de Ricardo Mbarkho

Des pixels ou les improbables flots d’émotions
par Alain Tasso

Désormais la technologie avancée, en profusion… Tout notre rôle se restreint à dialoguer avec l’autre par l’intermédiaire de la machine. Tous acculés à presser quelques boutons, toujours les mêmes, pour survivre. Encore une fois !? L’émotion, le sensible, rangés dans les étagères de quelques réminiscences encore possibles… Malheureuses vicissitudes du XXe siècle qui ont mené l’homme du présent à devenir l’humilié, l’esclave de la machine, c’est-à-dire de l’insensible !
Un monde où « l’Art », jadis « conscience nationale », se confine dans le concept afin de mieux réfugier son absence. Un concept qui, de par son objectivité, ne peut transmettre que l’ontologie de la chose mise en spectacle. C’est cette même chose qu’on aurait pu un jour intégrer dans le catalogue raisonné de l’Art.
Et pourtant… Voici un artiste qui sourd d’une terre presque déserte, recherchant le moment privilégié, et d’une fossilisation, quelques strates, quelques éclats encore possibles… Tout son rôle est de nouer l’innouable. Conscient de l’épuisement de l’Image, il prend également acte de l’étiolement des ressources. Plus de pinceaux, le chevalet rangé dans l’oubli car le monde, ou du moins ce qui en reste, au milieu du danger irréversible d’un déferlement continu d’images, a plus que jamais besoin de repos.
Devant l’indétermination, Ricardo Mbarkho ne prétend à aucune panacée… Que cherche-t-il donc à démontrer ? Les couleurs encore une fois, un regard qui nous rappelle au bercail, une harmonie, une figuration, une voix vespérale et enrouée d’un campanile ? Rien de tout cela…
Il est bien probable que cette image numérique sous les yeux ne chercherait qu’à dépoussiérer la banalité de nos jours pernicieux… afin d’exhumer virtuellement le sensible en le sertissant de neige : l’eau de la vie. Tout s’arrête là, tout est seuil face aux propylées de l’improbable : voilà ce que susurrent les différentes toiles issues de néo-ozotypies et se proposant à la rencontre.
Cet artiste tient absolument à faire surgir les autres rôles secondaires de la machine qui nous régit, en les convergeant vers un rôle principal, seul légitime dans des acceptions peut-être bien humaines et humanistes. Drôles de coïncidences, drôles d’apories dans le contexte mondialiste de la technologie !!!
Afin d’insuffler vie à cette même technologie dans l’univers du sensible, Mbarkho offre son propre langage inédit. Il choisit et traite des textes essentiels, sacrés ou profanes, afin de les transmuer au cœur d’une nouvelle dimension esthétique contemplative. Des matrices colorées retracent alors le sens dans une iconographie schématisée et de tout repos. Bien heureusement ! Nul choc, nulle agression ne viennent perturber l’ensemble qui se gère dans une complétion sereine. Seuls des pixels, vêtus de leur carnation, placent le lecteur à l’orée du résultat de la nouvelle expérience. C’est celle de l’artiste semant à tout vent une harmonie qui se voudrait régulatrice. La machine se met subitement à ressentir, son intention étant par la suite de produire une synesthésie. Tous les flots nivéaux de l’instrument se voudraient donc des grappes d’émotions, tout en douceurs par la dextérité de l’artiste. Un univers peuplé d’oxymores, les flux d’un futur sensible !

 

Au cœur d’un monde qui désormais n’est plus tout à fait le monde, le message émanant de l’ordonnateur est au départ géométrique ou de science physique. Par la présence même de la machine qui se met à frémir, en des inclusions multicolores, noumènes de phénomènes !
C’est encore l’artiste, par une action réfléchie et effective, qui répond à la décantation en imposant une renaissance des émotions, par le biais de l’instrument qui les gouverne et les dirige. Sa manière à lui d’appeler les êtres et dans un cri ultime, à une ré humanisation immédiate avant qu’il ne soit trop tard. Avant l’apocalypse… Par la copulation des couleurs donnée en gage, par l’implosion du texte initial proposé…
Lorsque les mots s’estompent, lorsque les reliefs se confondent dans les concrétions médusantes, seule la technologie, par le ludisme d’un labeur, redonnerait au sensible humain son sens originel.
Des sens qui tonnent de plaisir… un regard qui s’offre au paysage… une palette… l’homme sans doute… Encore le monde ?
A.T. (13 mai 2012)

 

Neil Young: Listen to « Americana » before it hits stores next Tuesday!

Neil Young
Americana – Neil Young & Crazy Horse’s first new album in 9 years – won’t be in stores until next Tuesday, June 5th, but you can hear the entire album now exclusively at Rolling Stone if you’re in the US, Canada, and most other countries around the world.
If you live in the UK, you can hear it now at The Guardian. If you’re in Spain, you can hear it at El Mundo, while Ireland can hear it at The Irish Times and Australia can hear it at The Australian.
« Americana » Videos
Official Site| Online Store | Facebook| Myspace 

exposition dogon, galerie didier devillez, revue de presse et finissage

REVUE DE PRESSE  Exposition DOGONà la Galerie Didier Devillez

  
 
 
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Jean-Noël Darde: Une thèse-pur-plagiat « écrite sous le signe de l’excellence »

POUR INFORMATION :

Chers Collègues de l’université Paris 8,

– Je viens de mettre en ligne un nouvel texte sur mon blog Archéologie du copier-coller :

L’université Paris 8, sa direction, sa Commission déontologie et sa thèse-pur-plagiat « écrite sous le signe de l’excellence« 

– Mercredi 16 mai, à 15h, l’émission « Rue des écoles« , sur France-culture, traitera du thème : L’université face aux plagiats.

Faire face aux plagiats, c’est ce que l’on souhaite à la prochaine direction de Paris 8.
Faire face aux plagiats, c’est commencer par quitter le chemin tracé par les deux précédents présidents de Paris 8, Pierre Lunel et Pascal Binczak.

Pour commencer, la sagesse voudrait que les listes qui concourent aux prochaines élections des conseils centraux (collège A) ne présentent pas de collègues qui ont pris ces dernières années fait et cause pour le plagiat et les plagiaires, que ces plagiaires soient étudiants ou enseignants-chercheurs.

La décence voudrait aussi que l’actuelle vice-présidente du CA, déjà élue du collège B au prochain CA, démissionne.
En effet, qu’une Commission déontologie, créée à la suite d’alertes à la thèse-plagiat répétées et circonstanciées, en vienne à défendre, après une longue « expertise », une thèse-plagiat est déjà déconcertant …
Mais savoir que ce sont les trois vice-présidents et les quatre directeurs des écoles doctorales de Paris 8 qui composent l’essentiel de cette Commission déontologie de neuf membres et que cette commission a été aidée par des « experts »… l’étonnement devient vertige …

Le plagiat universitaire compte parmi les dossiers les plus brûlants qui attendent le nouveau Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, écrit le professeur Gilles Gugliemi (université Paris 2) dans un communiqué qui annonce la récente parution de l’ouvrage le « Plagiat de la recherche« .

Attendons l’action du nouveau Ministre de l’Enseignement supérieur et de de la recherche face au problème du plagiat universitaire. On l’espère plus vive et plus efficace que celle de ses deux prédécesseurs, Valérie Pécresse et Laurent Wauqiez. 
Cordialement,
 
Jean-Noël Darde

MCF – Université Paris 8

Electrophone: Editions le Flibustier: La philosophie est dans les oeufs.

http://editionsleflibustier.free.fr/livres/monde_frites.php

Le Monde est plein de frites et de télévisions aquatiques  Par Électrophone


L’ouvrage :


« Les gens ont peur des couleurs, mais la vie est très couloureuse.
(Pipilotti Rist, artiste plastique et chanteuse)

Coloriez vous-même, changez l’âme de votre regard.
(Électrophone)

Cette rivière, c’est ma fiançée, j’la love, m’écriai-je, effervescent comme une danseuse des petits rats. Coucou, je n’ai pas le temps de descendre te voir, ma chérie, une autre fois !
Je me sentais foufou, une âme de trottinette, une âme chante sous la pluie et sifflotante. Je me gavais des couleurs incessamment changeantes, comme toujours à l’aurore.
Je montais la sauce tout seul. Tout neuf, je gueulai : Philo ! Coloriage ! Non-violence ! Les mamelles de la révolution moderne ! Hé, madame la vache laitière, c’est ça la vie ? L’audimat, le ménage, les enfants, les grille-pain, se réfugier dans la consommation effrénée, la normalité, le travail ? C’est ça la vie, c’est ça ?… Les porte-bonheur, le courrier rose du cœur, et des clodos partout, accrochés à leurs cartons ? Est-ce cela, la vie extraordinaire que nous attendions tous ? »
En dix nouvelles, dix « contes pour grands enfants » comme il les qualifie lui-même, Électrophone nous immerge dans un univers singulier où la réalité accueille l’imaginaire sans retenue. Un univers sombre parfois, mais toujours exalté et virevoltant où le quotidien bouillonne de poésie. À travers une écriture imprégnée de rock et de fantaisie hallucinatoire, il fait ainsi pétiller l’ordinaire pour en exprimer toute la magie cachée.

Lire un extrait

ISBN 978-2-918156-06-2
Collection « Les inédits »
12 x 18,5 cm, 176 p.
13 euros


L’auteur :
Catalan par adoption (Pyrénées-Orientales), Électrophone, alias Titou, alias Antoine Sauvêtre, a d’abord joué dans plusieurs groupes de rock à la fin des années 70. Il exprime aujourd’hui sa musique par l’écriture, à travers poèmes, chansons et nouvelles, tout en continuant à composer à ses heures perdues.