Étiquette : Interzone
Galerie Écritures: Réouverture
Bonjour, après ce temps de pause obligatoire, nous allons rouvrir la galerie. nous allons poursuivre jusqu’à fin juin, l’exposition des planches originales d’Edmond Baudoin extraites de 3 œuvres : « Humains, La Roya est un Fleuve », « Le Corps Collectif : Danser l’Invisible » et « Chagrin d’Encre ». Les possibilités de visite restent les mêmes mais ce serait bien de vous en assurer et de réserver soit par mail : galerie.ecritures@live.fr, soit par téléphone au 06 70 09 36 63. Au plaisir de vous revoir et de partager à nouveau cette belle expo. Prenez soin de vous. Jean-Marc Vincent

Interzone Éditions: Poésie
Une nouvelle page consacrée à la poésie, en ligne à https://www.interzoneeditions.net/poesie/
Brion Gysin: Come to free the words !
Extrait de Brion Gysin, Poems of Poems, 1985 , lecteur audio.

Juniel Al Mage: poèmes: textes et enregistrements audio & collages

Recueil de poèmes pour particuliers, écoles, EHPADS, maisons de retraite, etc.

Musique: Poetai by Vasha Dai and The Mutant Band (2011)

The Time of the Naguals, tome 4: Poems: 150 pages (English, Spanish, French) : en préparation.
A suivre…
Monsieur B: les pronoms – Enquête sur « des voix dans la tête »
http://www.interzoneeditions.net/MonsieurB.htm
Extrait de « Psychiatrie : le Carrefour des impasses »
à paraître chez Interzone Editions
(La retranscription de l’enregistrement contenue dans ce chapitre a été réalisée pour la première fois en anglais, en 1982, pour William Burroughs, qui s’intéressait aux discours des schizophrènes entendant des voix dans leurs tête, et effectuait une recherche sur les voix enregistrées par Constantin Raudive et les travaux de Julian Jaynes sur l’esprit bicaméral: voir les chapitres Ça appartient aux concombres : au sujet des voix enregistrées de Raudive, Essais, tome I, 1981, et Freud et l’inconscient, Essais, tome II, 1984, Christian Bourgois Editeur.)
Monsieur B était un homme d’une cinquantaine d’années. De taille moyenne, il était vêtu au fil des ans d’une veste chinée défraîchie à dominance beige et de pantalons de costume dépareillés. Ses cheveux gris clairsemés étaient coiffés en arrière. Il portait souvent, été comme hiver, un feutre marron.
Il était arrivé à l’hôpital dès l’ouverture de ce dernier, flanqué de l’étiquette de schizophrène. L’asile départemental où il était interné depuis une quinzaine d’années l’avait transféré dans le cadre de la sectorisation pour qu’il soit rapproché de sa famille. Il avait en effet une femme et deux filles qui habitaient dans les environs, mais n’avaient jamais donné signe de vie depuis son arrivée.
Les premiers temps, l’hôpital étant ouvert, il avait tenté quelques promenades à pied jusqu’à la ville, promenades qu’il agrémentait d’une halte dans un café pour y boire un verre de vin. A son retour dans le service, il se reprochait tellement son attrait pour les boissons alcoolisées, bien qu’il n’eût jamais bu au point d’être ivre, qu’il mit un terme à ses sorties.
Depuis, il se cantonnait dans l’enceinte de l’hôpital. Les jours de beau temps, il allait prendre le soleil sur le parking. Ses activités se bornaient à la fréquentation de la cafétéria et à la rédaction de quelques rares articles destinés au journal intérieur à l’établissement dont il gardait précieusement un exemplaire de chaque numéro dans sa chambre. Il en possédait la collection complète. Il finit par interrompre cette occupation et, s’il continuait à acheter le journal, il en cessa la lecture, disant que, comme il ne lisait pas tous les articles, il redoutait la vengeance de ceux qu’il négligeait, leur attribuant une vie et une volonté propre.
Sa propension à boire du café avait engendré entre le personnel et lui des relations basées sur le contrôle de sa consommation de cette boisson. Comme d’autres hospitalisés, il l’utilisait pour combattre les effets de ses médicaments et emplissait généralement son bol d’une quantité de café égale sinon supérieure au volume d’eau. Devant les limites qui lui étaient posées, il réagissait par de faibles protestations, puis s’en allait en marmonnant, l’air résigné, regagnant sa chambre ou le radiateur du service auquel il s’adossait, observant les allées et venues et chantonnant de temps à autres. Sa discrétion et sa docilité en avaient fait un des oubliés du service. Ses relations avec les psychiatres se bornaient à une poignée de main quotidienne.
Il entretenait avec les autres hospitalisés des contacts la plupart du temps courtois; avec certains il évoquait son passé dans l’armée, la deuxième guerre mondiale qui l’avait entraîné en Allemagne puis en Tunisie, bien avant ses premières relations avec la psychiatrie. Il ne supportait cependant pas que d’autres outrepassent les limites qui lui étaient fixées en matière de consommation de café et n’hésitait pas à dénoncer les éventuels goulus au personnel présent, adoptant la mimique d’un enfant cafteur : « Monsieur, il y a Untel qui boit tout le pot de café dans la cuisine! »
Monsieur B était un homme poli, déférent même. A l’égard du personnel il adoptait l’attitude du subalterne devant son supérieur hiérarchique, la tête penchée en avant, le regard rivé au sol, n’omettant jamais de terminer ses phrases par un respectueux « Monsieur » ou « Madame ».
Des petits faits de la vie courante, qui paraîtraient insignifiants à la plupart des gens, tenaient pour lui une grande importance. Fumeur, il lui arrivait de solliciter ou de donner du feu. A chaque fois il notait scrupuleusement sur un petit carnet le nom de la personne avec qui il avait eu cet échange et lui en rendait compte régulièrement : « Vous me devez, ou, je vous dois X fois du feu. » Quand son interlocuteur s’en étonnait, il répondait en disant que le fait de donner du feu n’était pas négligeable, qu’un sou est un sou, que les bons comptes font les bons amis et qu’il ne voulait pas devoir quoi que ce soit à quiconque.
Il passait ses journées à réfléchir et à observer. Il s’exprimait peu. Je l’entendis une fois parler de son épouse. Il n’avait jamais cessé de l’aimer et, bien que très peiné du fait qu’elle ne lui donne pas de nouvelle, il l’en excusait, attribuant son silence à sa maladie : « Je ne suis qu’un pauvre fou. », disait-il. Il avait recouvert les murs de sa chambre de phrases écrites au crayon de papier dédiées à sa femme : « J’aime plus que plus que des trilliards de fois Madame B. » Un jour elle demanda le divorce et l’obtint, sans avoir revu son mari.
Monsieur B. s’était retiré du monde des vivants et les propositions qui lui étaient faites de promenades ou de sorties au cinéma se heurtaient immanquablement à un refus : « Non, madame, je ne peux pas y aller, mes pronoms ne sont pas d’accord. » Je tentai plusieurs fois d’en savoir plus, lui demandant des explications sur ces mystérieux pronoms, sans succès. Il bredouillait alors quelques phrases inaudibles et s’en allait en chantonnant, coupant court à la conversation. Aucun soignant ne savait exactement ce qu’ils représentaient pour lui, si ce n’est qu’ils semblaient jouer un rôle négatif. Un jour, alors que je lui présentais ses médicaments, il me dit : « Ce n’est pas moi qu’il faut soigner, madame, ce sont mes pronoms. » Puis il s’éloigna, l’air préoccupé.
J’aimais bien Monsieur B.. J’appréciais sa courtoisie et m’efforçais de m’adresser à lui avec une égale politesse. Quant aux limites que ma fonction d’infirmière m’intimait de lui poser, je les lui expliquais en prenant en compte son état de santé. Bien que peu convaincu, il était content que je mette les formes et répondait en hochant la tête, l’air résigné : « Je comprends, madame, je comprends. » Quand je prenais mon travail, il quittait son radiateur pour venir me donner une poignée de main et, soulevant son chapeau de l’autre, il ne manquait pas d’accompagner son salut d’une révérence que je lui rendais. Son visage s’animait alors d’une expression de connivence amusée. Après plusieurs années, nous entretenions des relations tacites de respect mutuel et de complicité.
De temps en temps, il venait dans le bureau le soir après le dîner alors que je compulsais ou remplissais des dossiers et que les autres personnes étaient couchées ou regardaient la télévision. Il s’asseyait et, échangeant parfois quelques mots de l’ordre du passe-temps, passait une heure en ma compagnie. Je lui proposai de profiter de cette heure creuse pour discuter un moment avec lui comme il m’arrivait de le faire avec d’autres hospitalisés, et lui dis que je me tenais à sa disposition au cas où il désirerait m’entretenir de sujets qui lui tenaient à cœur.
Un beau soir, il entra dans le bureau et, de son ton de rapporteur, il dit : « Madame, il y a un de mes pronoms qui ne veut pas croire que le pape est polonais. » C’était la première fois qu’il me demandait d’intervenir dans son domaine. Je décidai de jouer le jeu et, rentrant dans le rôle de l’inspecteur recueillant la déposition du plaignant, je résolus d’enquêter sur les fameux pronoms. J’enclenchai le magnétophone que je portais avec moi de temps en temps. La conversation qui suit est la fidèle retranscription du dialogue que nous eûmes alors. C’est, à ma connaissance, la première fois que Monsieur B. accepta de livrer des explications détaillées sur ce qu’il vivait et de dresser une carte de son territoire intérieur.
* * *
Monsieur B : les pronoms
(en raison de la longueur de la retranscription de l’enregistrement, lire la suite dans le site d’Interzone Editions)
The Western Lands: Nouvelle adresse
L’adresse du site The Western Lands a changé depuis que le nouveau propriétaire d’interpc, son ancien hébergeur, l’a déplacé à http://westernlands.idline.fr (2016) mais les liens n’ont pas été actualisés, si bien que j’ai commencé à héberger son contenu sur http://www.inter-zone.org/westernlands/. C’est le premier site d’Interzone (1997). Il contient l’information sur le réseau, les textes envoyés par les membres du réseau, l’Interzone Ring, etc.
Vasha Dai: The album

1.
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Walking into the sunset 02:46
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buy track
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2.
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Bergen 03:10
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3.
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Stolen night 04:02
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4.
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The cat 04:22
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5.
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Late town 09:06
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6.
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Summer is gone 02:52
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7.
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The fool 05:33
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8.
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9.
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Sicilian friend 04:14
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10.
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11.
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And these stars 06:30
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Martijn Westra – bass, fretless bass
Vasha Dai – acoustic guitar, charango, vocal
Michelle Samba – drums, back vocal on “These stars”
Diederik Pasman – electric organ
Lennart Boonstra – acordeon Lyrics by Vasha Dai Recorded in Academie voor Popcultuur studios and Gido’s house during 17th – 24th of March, 2015, Leeuwaarden, The Netherlands Produced by Gido Lahuis and Ramūnas Peršonis Cover artwork by Leandro Falcone Cover and booklet design by Mavic Espiritu
credits
Listen or download : https://vashadai.bandcamp.com/album/the-album
Dreamachine group sur Facebook
Dan Sol dans le New Jersey vient de créer le groupe Dreamachine sur Facebook à https://www.facebook.com/groups/1528453680776296/ . Il y a 11 ans il avait créé le groupe Dreamachine sur Yahoo pour des échanges et informations, mais il est aujourd’hui dépassé. Facebook semble plus adapté: essayons et voyons ce qu’il en ressort. Merci, Dan ! Super d’être de nouveau en contact.
Les informations et recherches réalisées par les membres d’Interzone sont en ligne à www.inter-zone.org/dm.html , en français et en anglais. Elles ont également été publiées dans l’anthologie d’Interzone, dans les tomes suivants, en ligne en pdf.
– « Le Temps des Naguals – Autour de Burroughs et Gysin » http://www.interzoneeditions.net/naguals.htm
http://www.inter-zone.org/thetimeofthenaguals/TNFR.pdf
– « The Time of the Naguals – Research » http://www.interzoneeditions.net/tnenglish.htm
http://www.inter-zone.org/thetimeofthenagua…/TN2research.pdf
Rapport d’Interzone: août-septembre 2011
Erratum:
Littérature:
Rob Funderburk: THE 2ND HAND
Dans le rapport de juillet, j’ai transmis les adresses des sites de Rob Funderburk, accompagnés d’une image de la revue qu’il a réalisée, « The 2nd hand ». Vous pouvez la lire en ligne à http://dl.dropbox.com/u/22290764/T2H_broadsheet26.pdf .
Musique:
Vasha Dai: Sentimental (P. Verlaine)
« Un mixage rudimentaire du morceau de notre prochain album http://soundcloud.com/vasha-dai/sentimental-p-verlaine
ou aller l’écouter à www.myspace.com/vashadai ou ici sur SoundCloud. » Vasha
Paul O’Donovan sur MySpace
Nouvelle playlist dans Interzone news
Galeries:
Paul O’Donovan:
– Galerie ECRITURE on facebook
Galerie écritures http://www.facebook.com/galerie.ecritures

Expositions:
Mino DC: inauguration du nouvel atelier déchetterie du grand moiré 10 et 11 septembre 2011
Anthony Rousseau
– Convergence 1.0:
Plus d’infos à http://videoartpodcasting.blogspot.com/2011/06/convergence-10.html
«Danse macabre» est une installation multimédia dont le thème est la danse macabre ou danse de la Mort.
Ce choix a été guidé par différents facteurs : la volonté de réactualiser une forme ancienne de représentation symbolique de la Mort dans notre société et le souhait d’interroger les rapports entretenus entre le spectateur et ce thème.
Cette installation se présente sous la forme d’une table avec un plateau tournant sur lequel est posé un dodécagone composé de miroirs. Le spectateur tourne ce plateau pour activer diverses séquences audiovisuelles. Ce « mobilier » inspiré des jeux forains, met en place un système de monstration ludique qui associe les techniques liées au praxinoscope, considéré comme l’un des ancêtres du cinéma, et des technologies plus récentes liées à l’électronique et au numérique. Plus d’infos à http://videoartpodcasting.blogspot.com/2010/10/danse-macabre.html
Exposition “Interactions”/Journées du patrimoine à la maison Folie Hospice d’Havré du 17 au 25 septembre 2011.
100, rue de Tournai – 59200 Tourcoing.
Ouvert tous les jours de 13h30 à 18h – fermé le mardi et les jours fériés. Ouverture de l’exposition pour les journées du patrimoine les 17 et 18 septembre 2011. Rencontre avec le public pendant ces 2 jours de 15h00 à 17h00.
Optical Sound: September Matter
Pierre Beloüin ~ Optical Sound
105 rue des Volubilis 83190 Ollioules
16 Rue Eugène Lacroix 67200 Strasbourg
25 rue des Cascades 75020 Paris
Nouvelles pages en ligne
Dans les sites d’Interzone:
Interzone news: http://interzone-news.blogspot.com/
« La sémantique générale pour tous« : the front page has been updated.
Dans les sites des autres Zoners:
Rapport d’Interzone: juin 2011
Isabelle Aubert-Baudron: « Hello Interzoners ! »
Littérature:
Tome 4 du « The Time of the Naguals » : Poemes
Vous pouvez y accéder à travers la page « The Time of the Naguals » d’Interzone Editions à http://interzoneeditions.livres.officelive.com/tnenglish.aspx
KATE VIDUJE: traduction lituanienne de « The Cat Inside » par Vasha Dadaja
Le Porte-lame : traduction française de « Blade Runner » par Bernard Sigaud:
William Brandon : à la recherche d’un agent/ éditeur:
(or at least one out of three?)
In the past five months I have finally had the free-time to complete my latest novel, The Exile, The
This is where I need help… »
QUI EST ANA MENDIETA ? (Caro Caron & Christine Redfern)
Economie d’Interzone:
Sites mis à jour:
La sémantique générale pour tous
Le blog « Pour une économie non-aristotélicienne«
Inter-zone.org
Interzone Editions:
Nouveaux projets:
Ricardo Mbarkho : Evaluation de la constitution libanaise:
Ricardo www.dastooronline.com Yasmin_discussions
Beirut – Lebanon
GSM: +961 3 717 703
Web: http://www.ricardombarkho.com
Facebook : http://www.facebook.com/ricardombarkho
LinkedIn : http://www.linkedin.com/in/ricardombarkho
Sur Skype : ricardombarkho
Sur Twitter : http://twitter.com/ricardombarkho
L’hôtel et le restaurant El Jardin au Nicaragua:

El Jardin Hôtel & Restaurant
Timothy & Delphine De Wit
Bahia Nacascolo
San Juan del Sur
Nicaragua
Tel: (+505) 8659 1795
Tel: (+505) 8880 2604
info@eljardinhotel.com
Les amis de Lizières:
☞ ATTENTION les places sont limitées à 30 personnes ! ☜
Au programme :
• La Radio Taisô ラジオ体操
Une gymnastique de santé créée en 1928 par le bureau central des assurances vie de la poste japonaise. Diffusée tout les matins par la NHK (radio et télévision) encore aujourd’hui, elle est pratiquée largement dans les associations de quartier, entreprises, écoles …Une manière de débuter la journée à l’heure japonaise
• Un pique-nique nippon.
Découverte culinaire de « Bento » mets typiques de pique-niques japonais
• Une sieste emmenée par la musique instrumentale de Hiroko Komiya et Kazuya Nagaya
Deux artistes japonais exceptionnellement en France et à LIZIERES pour l’enregistrement de leur prochain album.
• La projection du film « Sound of Tokyo »
Réalisé par Eko et Vinci Sato. Une ballade tokyoite, des images qui invitent à découvrir les sons du quotidien des japonais.
• Une exposition de sérigraphies d’Ado
• Le Bon-odori 盆踊り
Initiation à cette danse traditionnelle pratiquée lors de fêtes d’été au Japon
INFOS PRATIQUES :
TARIFS :
Tarif plein : 30 euros + la cotisation aux Amis de LIZIERES pour les non adhérents
Tarif réduit pour les habitants de l’Aisne : 10 euros + la cotisation aux Amis de LIZIERES pour les non adhérents (à l’occasion de cette première année d’ouverture, le prix de l’adhésion à l’association des amis de LIZIERES, pour les habitants de l’Aisne est fixé à 5 euros )
POUR SE RENDRE A LIZIERES :
en voiture :
depuis Paris, prendre l’autoroute de l’est vers METZ / NANCY > continuer sur l’A4 > prendre la sortie 20 CHATEAU-THIERRY > prendre la D1, direction SOISSONS (passer BEZUET) puis emprunter la D87 jusqu’à EPAUX-BEZU (86 km)
Prévoir une arrivée au Château d’Epaux vers 11h et un départ vers 16h.
en train :
Départ de Paris Gare de l’Est à 10h35 arrivée à Château-Thierry à 11h21
Départ de Château-Thierry à 17h00 retour à Paris à 17h52
Depuis Château-Thierry, taxi ou navette peuvent être mis en place pour votre arrivée, n’oubliez pas de nous le préciser lors de votre réservation.
LIZIERES, au coeur du village d’EPAUX-BEZU, se trouve sur la route de BUIRE dans l’ancien domaine du Château d’Epaux (11 allée du comte de Lostange – 02400 EPAUX-BEZU)
CONTACTS :
☞ Réservez dès à présent vos places à cette adresse : reservation@lizieres.org
Nous vous adresserons un formulaire d’inscription ainsi que les modalités de règlements en retour.
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Pour LIZIERES,
Pedro Serra, président de l’association des amis de LIZIERES
Ramuntcho Matta, directeur du Centre de cultures et de ressources LIZIERES
Les amis de LIZIERES
association à but non lucratif créé le 18 septembre 2009 pour permettre au projet LIZIERES de voir le jour.
11 allée du comte de Lostanges _ 02400 EPAUX-BEZU / +33 (0)9 51 07 13 74
pour plus de renseignements : http://www.lizieres.org / amis@lizieres.org
Musique
NOVACRIMINAL – Nouveau site et EP
Juste un mail rapide pour tous faire savoir que le nouveau site NOVACRIMINAL.COM est maintenant en
Take care, »
NOVACRIMINAL
Concert de SALA en Lituanie :
Les Maîtres Musiciens de Joujouka
Jane’s Addiction travaille avec les Maîtres Musiciens de Joujouka
Les Maîtres Musiciens de Joujouka: Festival 10-12 juin 2011
Galeries et expositions:
Exposition Brion Gysin « Alarme » à la Galerie de France, Paris, www.briongysin.com
Frank Rynne parle au spectateur à travers le dernier show de Brion Gysin à Paris.
Galerie Ecritures :
Exposition de photographies :
EXPOSITION de PHOTOGRAPHIES de Philippe BUSSER et Francisco FORMISANO, du 26 avril au 10 juin.
Vernissage de l’exposition YO MARCHAND
Galerie ECRITURES 1 rue Pierre Petit 03 100 MONTLUCON
http://www.koifaire.com/auvergne/galerie,ecritures-15609.html
facebook http://www.facebook.com/?ref=home#!/profile.php?id=100002329084020&sk=wall
Le Château d’Oiron dans Interzone Galleries
Galerie Didier Devillez:
Nouvelles pages en ligne:
Dans les sites d’Interzone:
« Research » http://www.inter-zone.org/thetimeofthenaguals/TN2research.pdf
« Autour de Burroughs et Gysin » http://www.inter-zone.org/thetimeofthenaguals/TNFR.pdf and http://interzoneeditions.livres.officelive.com/naguals.aspx William Brandon: « Looking for an agent/publisher:
Dans les sites des autres Zoners:
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Vous souhaitant tout le meilleur pour cet été !
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