Catégorie : Bande dessinée
Central Hôtel: mise à jour
https://www.interzoneeditions.net/central_hotel/
José ALTIMIRAS & Guy MARCENAC
D’après le roman policier d‘André HELENA
Bande dessinée: intérieur noir et blanc.
Dessins: José ALTIMIRAS
Scénario: Guy MARCENAC
ISBN 979-10-94889-00-8 – EAN 9791094889008
Version imprimée: format: 21 x 29,7 cm (A4) – 51 pages – 19 €
En édition électronique sur Amazon : 3,51 €
José Altimiras
Le Taxidermiste
Le Taxidermiste: mise à jour
José Altimiras: Canigó Circus, Voix éditions
Voix éditions publie, en nouveauté 2020 Canigó Circus, 15 € : Achat dans le site de l’éditeur
José Altimiras dans le site d’Interzone Éditions
José Altimiras: Le premier train du Centre du Monde (1859-2019)
VOIX éditions vient de publier Le premier train du Centre du Monde (1859-2019), de José ALTIMIRAS.



https://www.ouillade.eu/culture/perpignan-une-equipe-creative-au-centre-del-mon/196987 Perpignan : une équipe créative au Centre del Mon !

Composée de José ALTIMIRAS , Jean CASAGRAN , Richard MEIER et Michelle PERNELLE, une équipe de choc pour une exposition formidable au Centre du Monde ! Une belle histoire qui retrace les hommes, les bâtiments et les voyageurs de ce secteur de la ville

Exposition intitulée : le premier train du Centre du Monde /1859 – 2019 /pour fêter les 160 ans de l’arrivée du Chemin de Fer à Perpignan dans le quartier gare… Surréaliste, non ?
A découvrir dans le hall de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM), à Saint-Assiscle jusqu’à fin décembre.
Photographies d’archives et cartes postales inédites de ce quartier (découvertes dans le fond des archives municipales) croquées par l’artiste José ALTIMIRAS et la complicité de VOIX éditions.
Pres de neuf mois de travail, afin de réaliser plus de quarante planches originales, exposées et redessinées par l’artiste.
Mais également, un livret, format à l’italienne, de cartes postales de tous les tableaux.
Comme le soulignait lors du vernissage Chantal GOMBERT, maire-adjoint du territoire Ouest (incluant le secteur gare) :
« de la locomotive à vapeur au TGV (Train à Grande Vitesse) ce quartier des faubourgs de Perpignan, a connu un essor florissant au cours du siècle dernier. Maisons bourgeoises (signée DORPH PETERSEN, avec la maison DRANCOURT) entreprises florissantes – papier à cigarette NIL- (usine de papier à cigarette de Joseph BARDOU) ,entrepôts d’expéditeurs (CARBONEL, DOUDON, PARE, DRANCOURT…), courtiers en vin, grossistes en fruits et légumes : la proximité de la gare en a fait un quartier important de Perpignan.
Et en 1965, souvenons-nous, l’artiste peintre de génie et maître du Surréalisme DALI descendait du train précédant GALA et leur escorte sous les vivas et Calpintar… Le maître proclamait alors la gare de Perpignan : Centre du Monde !
Ainsi que le soulignait également Jean-Marc PUJOL, maire et président de PMM, « avec l’activité économique de ces dernières années et la commercialisation terminée des locaux du Centre del Mon, ces espaces vont redonner de l’activité économique et de l’attractivité à ce quartier ».
Avec cette belle exposition, de photographies et cartes postales inédites retravaillées en quarante trois dessins originaux, toutes les générations vont prendre du plaisir à la découvrir, en parcourant les textes qui vous emmènent faire un joli voyage…


Tags: Centre del Mon, Chantal Gombert, exposition, Jean-Marc Pujol, Jezan Casagran, José Altimiras, le premier train du Centre du Monde /1859 – 2019, Michelle Pernelle, Richard Meier
Nouveau catalogue d’Interzone Éditions 2019
Le nouveau catalogue d’Interzone Editions, version 2019, est en ligne en pdf à http://www.interzoneeditions.net/Plaquette_Interzone_Editions.pdf avec des liens directs sur les ouvrages et les sites.
José Altimiras, Etienne Rouziès: UN TICKET POUR UN TRAM
VOIX éditions
DARNAUDET – ELRIC : Witchazel et le sort du Wlouf.
https://www.facebook.com/francois.darnaudet/posts/1125692137495495
Elric Dufau-Harpignies et moi-même, nous serons en dédicace suivie d’un apéro à la librairie Le Jardin des Lettres d’Andernos, en Gironde, sur le Bassin d’Arcachon, le samedi 6 août de 17h à 19h. Je dédicacerai également mon dernier polar, L’Homme qui valait des milliards. En attendant, voici une chronique de l’oncle Paul Maugendre qui intéressera également Polo Chon et Laure Durandelle!
Ma sorcière bien-aimée…
La vie est dure pour une jeune sorcière, surtout lorsqu’elle débute comme Hamamélis et qu’elle vient de quitter sur un coup de tête sa mère et sa sœur.
Elle est diplômée en sorcellerie et compte bien exercer ses talents à la Lagune brune, un territoire composé d’îlots. Un aimable gondolier, naviguant gaiment, lui propose de l’emmener, qui plus est gratuitement. Seulement, au bout de dix jours, l’officine d’Hamamélis gentille sorcière, reste désespérément vide. Pas trace de client.
Seul le chat Pristi lui rend visite chaque jour, lui offrant un bouquet de fleurs. Et des fleurs elle en a plein les vases et par-dessus la tête. Le père Duchêne aussi vient lui dire un petit bonjour amical, et lui rapporte les rumeurs, les ragots de clients potentiels. Hamamélis possède trop d’atouts qui jouent contre elle. Elle est trop jeune, trop jolie, trop gentille, inexpérimentée, bref elle est comme de nombreux jeunes qui voudraient s’installer mais ne peuvent le faire pour des raisons fallacieuses. Passons.
La nuit porte conseil a déclaré le père Duchêne. Hamamélis décide de se vieillir, de changer de nom, et surtout de prouver à tous qu’elle n’est pas manchote, mais mulote, en s’adonnant à quelques tours de magie avec la complicité du chat Pristi. Elle s’installe dans son échoppe après avoir changé de raison commerciale : Witchazel, la plus grande sorcière.
Les badauds qui ont pu assister à ces quelques exploits commencent à affluer et une file indienne de quémandeurs de sorts s’aligne sur le chemin menant à son antre, fort agréablement aménagé et lumineux.
Parmi ces nouveaux clients, certains n’hésitent pas à lui formuler des sollicitations particulières. De plus elle apprend par le chat Pitau, le cousin de Pristi, que celui-ci est emprisonné dans le tronc des Soupirs, accusé d’avoir volé la baronne des Trois-crics. Ni une, ni deux elle rend immédiatement visite à son ami, est arraisonnée par des policiers dont je ne définirai pas le comportement, et le commissaire, un client, lui propose d’élucider cette affaire en contrepartie de la liberté de Pristi.
Frais, réjouissant, ce conte animalier dont le décor emprunte à Venise, un lieu cher à Darnaudet, joue sur les situations et vous l’avez déjà deviné, les jeux de mots et de maux.
On pourrait penser à Benjamin Rabier, à Maurice Cuvillier le créateur de Sylvain et Sylvette, à Cécile et Jean de Brunhoff créateur et illustrateur de Babar, mais sans les personnages humains qui évoluaient dans leurs histoires, pour cette aimable fable dans laquelle apparaissent Maître Hibou Deficelle, notaire, un serpent à sornettes, un canard déchainé, et autres sympathiques, ou prétendus tels, personnages comme la Pie Lélectrique.
Et Hamamélis devenue Witchazel, la gentille mulote qui veut aider ses concitoyens par la bonté grâce à ses sorts et ses potions, va résoudre pour le mieux cette intrigue bon enfant qui n’est pas uniquement destinée justement aux enfants. Les adultes vont se délecter à lire et regarder ses aventures tout comme ils aiment se replonger dans celles de Tintin, des Pieds Nickelés, de Lucky Luke. Grâce aux dessins d’Elric, on entre dans le charme de cette fameuse ligne claire de l’école belge, tout en y dérogeant car il possède son style déjà établi dans le précédent album réalisé avec François Darnaudet : Harpignies.
Les deux auteurs, François Darnaudet et Elric se complètent et nous livrent ce premier tome d’une nouvelle série à suivre, sans oublier la coloriste Laure Durandelle.
The Paris Review: Unconventional, Part 4: William S. Burroughs in Chicago
July 5, 2016 | by Nathan Gelgud
In anticipation of the Republican and Democratic national conventions later this summer, Nathan Gelgud, a correspondent for the Daily, will be posting a regular weekly comic about the writers, artists, and demonstrators who attended the contested 1968 D.N.C.. Catch up with Part 1, Part 2, and Part 3.
The comic is on line at http://www.theparisreview.org/blog/2016/07/05/unconventional-part-4-william-s-burroughs-in-chicago/